transmettre la GP à des orgas pro avec humilité et efficacité

Nom de l'initiateur·trice de l'atelier : : Ornella
Noms des participant·es : :

Annick, Mathilde, Marion, Cécile, Soraya

Description / éléments importants de l'échange : :

Expérimentation/ long terme

Comment proposer la GP au sein au sein de nos organisation?

Comment expliquer à la hiérarchie ce que l'on fait? Comment justifier une rémunération alors que l'on parle d'expérimentation d'un autre modèle? Comment "prouver" que s'est "rentable" la GP?

Quel vocabulaire on utilise?

Est ce que j'y vais à visage découvert? Ou quand est ce que je tombe le masque? A quel moment du processus? Comment ne pas susciter la méfiance des partenaires?

Prendre le temps de l'expérimentation

Comment ne pas s'épuiser devant l'incompréhension des collègues, des supérieurs....?

Agir plutôt au niveau de petits groupes, à petite échelle

Ne pas nommer (gouvernance...), faire, proposer des jeux, des expérimentations,...puis expliquer le processus a posteriori

Sans nommer, sans employer un vocabulaire spécifique, amener les gens à vivre l'expérience du collectif, d l'intelligence collective à travers des "jeux". Cela construit le collectif de manière non-consciente et donc les participants y adhèrent de fait, soutiennent le processus a posteriori et le défendent.

Le collectif (qui fonctionne en GP) est une bulle, un espace ressource qui prévient l'épuisement des individus et leur donne l'énergie de travailler ensemble.

C'est le collectif qui porte les responsabilités, les réussites, les échec et pas une seule personne. On ne répond plus en son nom propre mais au nom du collectif. les décisions sont prises collectivement donc ça induit un temps plus long pour répondre aux demandes et donc plus de réflexion...

Comment on pérennise ces actions, ces processus sur le temps long? Quels seraient les jalons à poser pour que cela fonctionne longtemps (même avec des changement de personne au sein du collectif...)?