L'autonomie


Nous affranchir du système économique : l’autonomie

Au travers de cette volonté de tendre vers une autonomie, il convient d’entendre une volonté de « vivre le plus possible sans argent », c’est-à-dire sans l’asservissement qu’implique de nos jours l’aspect économique et financier de la société humaine.

L'autonomie évoquée ici est transversale à l'ensemble de notre quotidien d'être humain.

La liberté de chacun n’accepte comme seule soumission immuable celle imposée par la Nature, terme qualifiant l’organisation globale de la Vie sur Terre et dont nous sommes issus autant que nous participons en tant qu’élément constitutif de ce vaste système du Vivant.

Dès lors, nous visons à nous affranchir « le plus possible » de l’asservissement d’un symbole inventé par le seul être humain et qui régit presque universellement nos vies : l’argent.

Sans en nier l’utilité (notamment en terme de facilité d’échanges) – et de ce fait sans croire innocemment à nous extraire totalement des transactions pécuniaires (qui dans ce cas n’est plus une recherche d’autonomie mais bien plutôt d’indépendance) – nous cherchons à créer un espace de vie dégagé de cette contrainte que nous considérons comme aliénante et nocive dès lors qu’elle régit l’alpha et l’oméga de nos choix et modes de vie.

D’où l’idée de tendre vers un « vivre le plus sans argent » c’est-à-dire tendre vers l’autonomie.


Tandis que le grand philosophe Sarkozy nous proposait de « travailler plus pour gagner plus » (logique raisonnable en vertu de l’Économie) et que l’adage populaire nous apprend que « le temps c’est de l’argent », nous souhaitons rechercher toutes les solutions qui nous permettent de « travailler moins pour plus de temps » parce que nous considérons que « la vie c’est du temps » (logique économique abandonnée au profit de la logique du Vivant).

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