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La place de la nourriture dans la vie quotidienne des Romains.

Par Marilou Démonté et Lucie Veaulin.

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Vue de Paestum.

I- L’agriculture à Paestum.

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Mauve.
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Orangers.
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Arbre de Judée.
Chez les Romains, l’agriculture est une activité essentielle. La nature était omniprésente.
Le principal arbre était l’olivier, dont on consommait les fruits, notamment sous la forme d’huile. Le figuier est aussi un arbre très productif de cette région. Les roses étaient une spécialité, grâce à leur floraison 2 fois par an. La mauve sauvage, une fleur aux vertus thérapeutiques, se trouve à plusieurs endroits et pousse en abondance.
Désormais, des orangers se trouvent à l’entrée du site ainsi que des arbres de Judée.


II- La nourriture et les sacrifices.

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Fresque de la villa des Cerfs (Herculanum).
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Fresque n°2 de la villa des Cerfs (Herculanum).
Des natures-mortes ont été consacrées à la nourriture. Sur un de ces tableaux, on trouve un panier rempli de fruits dans lesquels nous avons reconnu des fruits ressemblant à des pêches, des abricots ou encore des mandarines. Sur le deuxième tableau, nous voyons des noix, des noisettes, des dattes et un poivron, exposés sur un plateau. Au fond, on retrouve ce qui semble être une tasse. Ces différentes œuvres nous montrent l’importance de la nourriture dans la civilisation grecque et leurs habitudes alimentaires.


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Un sacrifice à Paestum.
Pour un Romain, la nourriture est quelque chose de sacré, dans une relation de partage avec les dieux. En effet, devant les temples, il y a un autel pour les sacrifices. On sépare ce qui comestible, pour les hommes, et ce qui n’est pas bon, pour les dieux. La fumée dégagée par l’incinération des animaux monte au ciel pour les dieux. Les Romains mangeaient peu, il y avait même une loi qui punissaient ceux qui avaient un banquet trop riche. Mais à partir du II° s av J-C, les Romains commencèrent à faire des banquets de plus en plus grands.
Leur alimentation était principalement constituée de céréales, de légumes et de pain. Ils mangeaient aussi beaucoup de fruits. La viande était surtout consommée lors des fêtes (c'est pour cela que la viande était utilisée pour les sacrifices).
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Fresque donnant un aperçu des aliments des Romains.

III- Les pièces de la maison romaine liées à la nourriture.

Les pièces liées à la nourriture dans une maison romaine sont la cuisine, appelée « Culina » en latin. C’est dans cette salle que les plats étaient préparés par des esclaves. La salle à manger, appelée « Triclinium » en latin, était un lieu de réception où il n’y avait pas de table car il y avait trois lits disposés en U. Les personnes s’allongeaient sur les lits et il n’y avait qu’une table basse où était disposés les aliments. Il y a aussi les greniers où on pouvait conserver les aliments.
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La cuisine de la maison romaine (culina).
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La salle à manger d'une maison romaine (triclinium).

L’architecture du temple de Neptune à Paestum.

Par Victoire Brunner.

Introduction.
Attendez ! Attendez ! Pas trop vite… Avant de commencer votre lecture, j’aimerais vous poser deux petites questions.
. Qu’est ce qu’un temple ?
. Qui est Neptune ?
Si vous avez la réponse, félicitations ! Vous pouvez vous rendre au premier paragraphe. Les autres… Oui vous... ! Concentrez-vous et lisez attentivement car la suite vous sera utile.

Alors, qu’est ce qu’un temple ? Très bonne question.
C’est un édifice public consacré au culte d’une divinité. Un peu comme sa maison. Dans l’Antiquité, c’était l’un des monuments les plus importants de la cité. De nombreux rites (cérémonies religieuses) y étaient pratiqués.

Mais qui est Neptune ? Est-ce une planète ? Eh bien, pas seulement...
En latin "Neptunus" (équivalent du dieu Poséidon chez les Grecs, l’un des douze grands dieux olympiens), est le dieu romain de la mer, des îles, des fleuves, de la navigation, des tremblements de terre, des tempêtes et des chevaux (rien que ça).

Alors, êtes-vous prêt à commencer ?


I- Découverte, reconstitution.

Le temple de Neptune a été édifié vers le milieu du Ve siècle av. J.-C., probablement à l'époque du plus grand épanouissement de la cité de Poseidonia.
Il présente aujourd'hui un excellent aspect de conservation, dû à l'abandon de la ville pour cause de paludisme, dès les premiers siècles de l'ère chrétienne.

II- Composition, construction.

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Reconstitution du temple de Neptune à Paestum.
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Vue de la façade du temple.
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Le temple de Neptune.
Le temple de Neptune (désigné parfois par le terme "Héraion II" dans le passé) est l’un des trois temples les mieux conservés du monde grec, avec l’Héphaïstéon et le Temple de la Concorde d’Agrigente. Il est considéré comme l’aboutissement ultime du dorique*.
Sur une base à trois niveaux, le péristyle* a une colonnade de 6 par 14 colonnes doriques portée par une base de 24 x 60 mètres.
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Gravées de vingt-quatre rainures, les colonnes ont un léger renflement* central, elles soutiennent l’architrave* portant la frise, composée de triglyphes* et de métopes (panneaux alternant avec les triglyphes) non décorés. Même les frontons* triangulaires sont presque entièrement conservés.
La cellule, classiquement partagée en deux parties avec deux colonnes doriques entre les passages, est divisée en trois nefs séparées par deux rangées de sept colonnes, qui elles-mêmes sont doublées, avec des colonnes superposées. Au fond se dressait l’immense statue de la divinité honorée.
De chaque côté de l’entrée se trouvent deux escaliers cachés en colimaçon qui mènent à la toiture (semblables à ceux du Temple d’Athéna au nord). En face du temple est situé l’autel*.
L’attribution du temple à Neptune (ou Poséidon) n’a pas vraiment de preuves archéologiques. Certains l’attribuent à Apollon, Héra, ou encore en font un temple olympien (dédié à Zeus). Nous savons qu’il y avait sûrement une statue d’une de ces divinités. Mais nous l’assimilons plutôt au temple de Neptune/Poséidon à cause du nom de la ville (Poséidonia) même si nous n’avons aucune certitude.

Définitions :
*dorique: ordre d’architecture grecque très sobre (voir photo)
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Les styles architecturaux.
*péristyle: colonnade entourant la cour intérieure d’un édifice (bâtiment important) ou disposée autour d’un édifice
*renflement: augmentation de volume
*architrave: partie inférieure de l'entablement qui porte directement sur le chapiteau de colonnes
*triglyphes : ornement de la frise dorique, à trois rainures verticales
*fronton: ornement vertical, le plus souvent triangulaire, au-dessus de l'entrée d'un édifice
*autel: table sacrée servant au sacrifice rituel ou au dépôt d’offrandes


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Le temple de Neptune, coupe explicative.

1.Statue du culte
2.Stéréobate
3.Stylobate
4.Péristyle
5.Vestibule
6.Cellule
7.Autel
8.Colonne
9.Chapiteau
10.Métope
11.Triglyphe
12.Fronton
13.Frise
14.Architrave
15.Toiture

Le milieu naturel de Paestum


I. La localisation et le contexte naturel de Paestum


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Vue de Paestum
Paestum se situe sur le littoral de la côte ouest du sud de l’Italie, à cent mètres de la mer Tyrrhénienne. Ce site antique ayant supporté plusieurs colonisations comme les grecs, également appelé Poseidonia, est placé à cet endroit pour des raisons économiques comme les transports de marchandises par les voies maritimes. De l’autre côté de la cité, la chaîne de montagnes des Apennins domine le paysage. Il donc plus intéressant de s’installer sur dans un milieu marin plutôt que montagneux avec une élévation conséquente. Un bon climat y règne.


II. La flore à Poseidonia

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Arbre de Judée
Beaucoup de végétaux se trouve dans ce site archéologique. Une multitude de variétés d’arbres comme les pins parasols, les sapins, les cyprès, les arbres de Judée, les oliviers, les figuiers et les lauriers poussent sur ces terres. De l’herbe envahit les lieux et certains buissons y sont prospères. Les routes sont simples et n’ont pas d’herbe ou très peu malgré une végétation luxuriante. Sur les vases antiques, on représente souvent la nature.


III. Les temples d’un point de vue naturel

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Façade du temple de Neptune
Trois temples peuvent être identifiés ; celui de Jupiter (Zeus) et de Junon (Héra), celui de Neptune (Poséidon) et celui de Minerve (Athéna), confondu avec celui de Cérès (Déméter). Ils commencent à se faire envahir par de l’herbe. On utilise le calcaire comme matériau ; cela permet de résister aux séismes. Dans l’Antiquité, leur toit est en bois ; par conséquent, à l’intérieur de l’édifice, l’obscurité y règne. Pour éclairer la zone, on allume des torches. Le matériau utilisé pour la construction de la couverture n’étant pas résistant sur de longues périodes et de catastrophes naturelles ou humaines, de nos jours, il n’existe plus. La lumière peut donc y entrer. Leur statue a (leurs statues ont, dans le cas du temple de Jupiter et de sa femme) disparu avec le temps. L’utilisation des matériaux précieux comme l’or sont la finalisation de la représentation prestigieuse de leur(s) divinité(s).


IV. L’autel du temple de Neptune et son utilité

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Autel de Neptune
Tout comme les temples, l’autel du temple de Neptune est en calcaire et la végétation commence à s’y installer. À l’époque, les personnes riches donnent à sacrifier des animaux comme les porcs, les bœufs, les moutons ou les chèvres et les personnes pauvres ne peuvent qu’offrir aux divinités des végétaux comme les fruits. Une fois les offrandes terminées, on consomme les produits. Les pertes sont minimales : on garde la peau des animaux, leurs os, dans le but de se protéger, de se couvrir, etc.


V. La production agricole à Paestum


Dans l’Antiquité romaine, la richesse de Poseidonia est faite grâce à la rose ; contrairement aux autres provinces et pays qui possèdent ces fleurs qui florissent un fois par an, Paestum a des roses dont la floraison se produit deux fois par année. Actuellement, le lait de bufflonne sert à confectionner la mozzarella, importante pour l'économie de la région.

Les autels de sacrifice.

Par Anthonin Lemaire.

Introduction :
Qu’est-ce qu’un autel ?
Un autel est un endroit où l’on sacrifie les animaux pour les dieux. Ils sont souvent à côté d’un temple ou dans les maisons (lararium), on y fait des offrandes


I- Les autels publics.

Les autels publics étaient à côté d’un temple.
Dans un autel public, les gens brûlaient les animaux pour les dieux. C’est par la fumée que les Dieux recevaient le sacrifice.
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Monsieur Chobert, en conférence sur les vestiges de l'autel du temple de Neptune à Paestum.

Mythologie : une des versions de l'histoire de Prométhée.
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Prométhée.
Zeus sollicite Prométhée qui est un Titan, de demander aux hommes de lui offrir des sacrifices.
Prométhée attrape un taureau magnifique qu’il tue et découpe.
Les hommes ont très faim et veulent manger toute la viande fraîche. Prométhée décide alors de tromper Zeus.
Il fait un lot de viande où il n’y a que les os entourés de graisse blanche. Le deuxième lot de viande est composé des morceaux de chair recouverts par des morceaux de tripes.
Il appelle Zeus, pour qu’il choisisse le morceau.
Zeus a deviné la ruse mais il choisit le morceau le plus beau, extérieurement. Ensuite, pour se venger, il prive les hommes du feu. Ils ne devront manger que de la viande non cuite par le feu et ils trouveront plus d’animaux en abondance.


II- Les autels privés.

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Un lararium.
Souvent les autels privés ne servaient pas pour les Dieux comme Zeus mais pour les Dieux de la maison. Souvent le maître du sacrifice est le chef de famille, il est entouré des membres de la famille, des amis par exemple.
A l’endroit où ils priaient les personnes mettaient des statues.
On y trouvait aussi des vases pour recueillir le sang ou des paniers pour mettre les offrances.

Les Dieux dans les villas romaines.

Par Mathilde Auxerré.

I- Le laraire.

Le laraire est un autel personnel qui se trouve dans chaque villa romaine. Les Dieux qui protègent l’habitation y sont honorés ; ce sont les Lares. Tous les jours, les habitants de la maisonnée, y compris les esclaves, participent au culte de ces Dieux.

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Laraire de l'atrium de la maison de Ménandre.

Les Dieux Lares.

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Statuettes sur le laraire du fond de la maison de Ménandre.
Les Lares sont des divinités romaines liées à un lieu précis. Leur mission est de protéger les hommes qui utilisent ou habitent le lieu qui leur est dévolu. Ils sont donc les dieux protecteurs de la maison, des marins, des militaires, des champs, des routes et de leurs utilisateurs, etc… Les Lares, contrairement aux autres divinités protectrices, ne favorisent aucune classe sociale et protègent aussi bien les Patriciens et les maîtres que les clients et les esclaves.
Les Étrusques, voisins des romains, furent les réels créateurs des cultes domestiques et familiaux très similaires à ceux que les Romains attribuèrent par la suite aux Lares.
Les Lares sont généralement représentés par de petites statuettes de jeunes garçons modestement vêtus de tuniques courtes avec une ceinture.

Le culte

Pour obtenir la protection des Lares, un laraire ou lararium leur est destiné. On leur y offre des aliments en guise d’offrande à chaque repas. Des couronnes de fleurs étaient également déposées auprès des statuettes, lesquelles étaient le plus souvent fabriquées en bronze.

L’architecture d’un laraire

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Laraire au fond d'un jardin (Pompéi).
Comme il est dit plus haut, un laraire est un petit autel, temple, ou sanctuaire personnel. Il se trouve généralement dans l’atrium, ou entrée, mais peut aussi être dans le péristyle, ou jardin. Sur les images, les laraires ressemblent à de petits temples : plusieurs colonnes surmontées d’un fronton triangulaire.


II- Différentes divinités dans les pièces de la maison.

Lors de notre visite de la villa San Marco, nous avons remarqué que différentes divinités étaient représentées dans les décorations des pièces. Elles ont parfois une signification spécifique.

Le nymphée et les nymphes

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Nymphée de la villa San Marco.
Un nymphée est un bassin accueillant une source sacrée qui possède parfois des vertus thérapeutiques ; c’est une sorte de sanctuaire dédié aux Nymphes. Les Nymphes sont des divinités de la nature incarnées par de belles jeunes filles. Elles peuplent la majorité des lieux comme les sources et rivières dans le cas du nymphée, mais aussi les forêts et les bois, les montagnes et les grottes. Les nymphes fertilisent les terres et protègent les humains qui vont se baigner dans leurs sources. Ici, dans le nymphée, sont représentées d’autres divinités telles que Neptune et Vénus.

Quelques personnages de la villa San Marco

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Fresques mythologiques de la villa San Marco (Persée).
Sur l’image, nous pouvons observer à droite Persée tenant dans l’une de ses mains la tête de Méduse et à gauche Iphigénie qui fut sauvée de son sacrifice par Artémis. Ces deux personnages sont représentés sur une fresque, dans une pièce menant au salon d’été de la villa.


III- Le culte de Bacchus


Bacchus est la divinité du vin et de la vigne mais également des mystères et des extases. Il n’est que très peu vénéré par les Romains, sauf par un nombre restreint d’initiés.

Les Mystères de Bacchus

Dans la période gréco-romaine, un mystère est un culte religieux dont les cérémonies et les pratiques sont réservées aux personnes ayant accepté l’initiation ; ce sont donc des initiés.
Les mystères de Bacchus, ou Bacchanales, sont tout d’abord des sortes de banquets organisés par des femmes trois fois par an. Lors de ces fêtes de 4 ou 5 jours, les initiés profitaient de représentations théâtrales, mais elles ont rapidement évolué en orgies hebdomadaires et nocturnes où tous les excès étaient permis. En raison des débordements, la réputation des Bacchanales se ternit.
Plus tard, un scandale éclata autour de ces cultes pendant lesquels, selon les rumeurs, avaient lieu des crimes. Les cercles d’initiés de plus en plus nombreux pouvaient aussi abriter des conspirateurs et c’est ce qu’a craint le pouvoir romain. Le Sénat voulut interdire les Bacchanales, pourtant elles se perpétuèrent mais de manière plus surveillée.
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Fresques de la villa des Mystères.
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Fresques de la villa des Mystères (02).
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Fresques de la villa des Mystères (03).

Les statuettes de culte.

Par Lola Faisy.

Pour protéger leurs maisons, les peuples romains utilisaient des laraires (petite zone de culte) dans l’atrium, où ils pratiquaient les offrandes aux dieux et où se trouvaient une ou plusieurs statuettes des divinités honorées pour protéger les villas. Les statuettes sont le plus souvent en bronze ou, pour les familles plus modestes, en terre cuite.
Suite à l’éruption de 79, beaucoup d’entre elles ont était enterrées mais certaines ont été retrouvées. Au musée archéologique de Naples, quelque unes sont exposées .


I- Statuette de Minerve.

Cette déesse, toujours représentée armée, est la déesse de la sagesse, de la guerre pacifique, et de l’effort héroïque.

II- Statuette d’Hercule.

On le reconnait grâce à son corps musclé, sa massue et la peau du loin de Némée. Héros protecteur du mal, on le retrouve donc sur certaines amulettes.

III- Statuettes de Diane.

Repérable par ses compagnes, sa biche, son arc et ses flèches, elle est la déesse protectrice de la chasse, de la lune et des naissances.

IV- Statuettes de Vesta.

Cette déesse, reconnaissable grâce à sa patère (vase sacré pour les offrandes), est la déesse protectrice de la maison et du foyer.

V- Statuette de Junon.

On la reconnait grâce à son sceptre, son trône et son paon, c'est la déesse protectrice de la fécondité et du mariage.

La croyance est partout dans la vie quotidienne. On peut donc en conclure que les peuples latins sont très attachés à leur religion et leur vie tourne autour de cette même religion polythéiste. Honorées une divinité consistait ainsi à ne pas recevoir une quelconque punition divine, les statuettes étaient donc très importantes dans la pratique des cultes pour de pas offensée la divinité.
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