Les mesures sanitaires générales sont questionnables.


Comme pour toutes les maladies infectieuses, le lavage des mains est la parade la plus efficace. Dans le cas de la grippe, les médecins ont toujours utilisé des méthodes de distanciation (arrêts de travail, alitement, éloignement des enfants).
Le masque a été traditionnellement utilisé en Asie, mais pas dans les autres continents. Paradoxalement en Asie, les épidémies de grippe ne sont pas moins meurtrières qu’ailleurs.

Utilité du port du masque ?

Comme il n’existe presque aucune étude sérieuse prouvant l’utilité du port généralisé du masque, nous sommes obligé·es d’avoir recours à d’autres types d’arguments pour constater que le port obligatoire et généralisé du masque semble n’apporter aucun bénéfice en termes de santé publique.
“Le gouvernement a reproché au Pr Raoult d’appliquer une méthode non démontrée scientifiquement (alors que le risque d’utiliser la chloroquine était minime), pourtant il a fait, et continue de faire, exactement la même chose ! Confiner un pays puis obliger sa population à se masquer sont des mesures radicales qui n’ont jamais été testées. La Suède est le seul pays à avoir procédé autrement. Son économie n’a pas été arrêtée et proportionnellement elle compte un nombre de décès équivalent.” Laurent Toubiana, épidémiologiste de l’Inserm.
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  • Façon de porter le masque
L’utilité du port du masque chez les professionnel·les qui l’utilisent correctement (changement régulier et pas de manipulation est prouvée de façon modérée par certaines études.
Regardez cette démonstration par un chirurgien de la manière correcte et saine d’utiliser le masque du 14 septembre 2020

  • Type de masque
Mais les types de masques utilisés par les français·es sont loin des normes professionnelles (FFP2 et FFP3).

  • Contexte du port du masque
Le masque est logiquement plus utile dans les milieux fermés à forte concentration humaine (bals, fêtes, etc.) que dans les milieux ouverts (rues).

  • Une analyse de 10 minutes des bénéfices-risques du port du masque à partir du principe médical de base “primum non nocere” (avant tout, ne pas nuire) et le refus de l’opposition pro-masque/anti-masque qui divise.
source Témoignage de Louis Fouché, médecin-réanimateur sur la chaîne YouTube Reinfo Covid du collectif des médecins et soignants pour une politique sanitaire de la Covid 19 éclairée, juste et proportionnée du 14 septembre 2020

Effets indésirables et risques du port du masque

  • Le port du masque peut diminuer la transmission aérienne (toux, éternuements, respiration), mais il ne peut pas diminuer la transmission cutanée si on le touche ou le manipule constamment, ce que font majorité des citoyen·nes.

  • Si le masque n’est jamais changé, il peut même devenir un réservoir de virus et éventuellement augmenter la charge virale en cas de contact cutané (effet contraire à celui espéré !)
source Covidinfos, site de citoyen·nes, du 20 août 2020 parlant des auto-contaminations, lésions, effets indésirables du masque selon l’OMS

  • Les risques de pneumopathies liées au port du masque, ainsi que l’impossibilité de s’immuniser pour les porteur·ses sain·es. Un pneumologue explique pourquoi il refuse que ses patient·es portent le masque.
source Interview du Dr Bellier sur CBNews du 10 septembre 2020

  • Le masque se révèle source de divers problèmes : anxiété sociale, troubles respiratoires subjectifs, lésions dermatologiques, irritations, baisse de communication, perte d’autocontrôle et parasitage des ressources cognitives, etc
source “Qui met nos enfants en danger, le SRAS-CoV -2 ou les mesures de nos gouvernements?” Article complet sur l’ensemble de la situation par le Dr Pascal Sacré, médecin-réanimateur en Belgique, publié sur le site du Centre de la Recherche sur la mondialisation le 14 septembre 2020

Conséquences sociales et psychologiques des mesures imposées

Rapports sociaux tendus, climat de peur et de défiance, voire de méfiance, séparation et isolement, personnes âgées isolées, accouchements dans des conditions très contraignantes, engorgement des services de santé…
  • Tribune du philosophe Abdennour Bidar “Cesser d’exister pour rester en vie ?”
source Libération du 4 mai 2020

  • « Ils meurent d’ennui » en Ehpad
source La Montagne du 19 juin 2020

  • Stress et troubles mentaux, l’autre fléau de la pandémie, selon l’ONU
source Le Parisien du 14 mai 2020

  • Conditions d’accouchement très difficiles en temps de covid. Or, il y a plus de 20 000 naissances chaque mois en France...
source Ouest France du 2 juillet 2020
source NouvelObs du 13 mai 2020

Une pathologie sociale

Les stratégies de santé publique ne se décident plus au niveau national ou régional, mais au niveau mondial.
L’OMS qui décide ce qu’est une pandémie, quelle est sa gravité, et donne la ligne directrice pour les moyens de lutte. Ceci entraîne une cascade de fuites en avant :
  • Les ministères sont dans l’obligation de s’aligner au risque d’une contestation populaire et d’une opposition politique qui les accuseraient de tous les morts
  • Les mairies et territoires en rajoutent souvent pour des raisons électorales
  • Les administrations font de la surenchère sous diverses pressions (syndicales et autres)
  • Les commerçants se muent en gendarmes par peur des contrôles
  • Les citoyens se font les héros de cette protection par angoisse, naïveté ou civisme
  • Les médias cultivent la polémique et le catastrophisme en boucle jusqu’à une quasi-abolition de la pensée et du libre-arbitre.
  • Ce catastrophisme majore le stress qui peut à son tour induire de l’inflammation et déséquilibrer le système immunitaire.

“On peut parler de pathologie sociale, plus effrayante que le Covid, et dont l’évolution est imprévisible par manque de modèle historique. Par exemple les effets sur l’anxiété des enfants et des personnes psychologiquement fragiles sont pour l’instant impossibles à évaluer.” Dr Luc Perino