16/01 (retour débat aux studios police illégitime violence)

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Ordre du jour :

Le documentaire était intéressant + intervention du réalisateur et de la sœur d'une victime (Angelo).

Climat un peu tendu avec un policier en particulier qui a très vite quitté la salle.("ouais fini et après on va te finir")

Un retraité policier a parlé de l'agora des citoyens, de la police et de la justice peut-être on peut prendre contact avec eux : https://acpj.fr/

le collectif d'ailleurs nous sommes d'ici était présent et intervient à tours  tous les 1er lundi du mois au centre social plurielles.

Pour le reste, j'ai pris des extraits de discours: (mélangés)

"Peur du maintien de l'intégrité, les flics font leur travail,  il y a une différence entre être chez soi et contrôles d'identités constants et être manifestants, pas être en sécurité logiciel de main courant on les classe d'indésirables, le pouvoir du fric, faire taire la masse, milice comme sous Pétain autocratie faute du capitalisme, chaque corps porte sa misère, institutions mise en doute, fin de la police de proximité et c'était la solution, les suicidés policiers c'est pas pareil

Compte rendu :

Le documentaire était intéressant + intervention du réalisateur et de la sœur d'une victime (Angelo).

Climat un peu tendu avec un policier en particulier qui a très vite quitté la salle.("ouais fini et après on va te finir")

Un retraité policier a parlé de l'agora des citoyens, de la police et de la justice peut-être on peut prendre contact avec eux : https://acpj.fr/

le collectif d'ailleurs nous sommes d'ici était présent et intervient à tours  tous les 1er lundi du mois au centre social plurielles.

Pour le reste, j'ai pris des extraits de discours: (mélangés)

"Peur du maintien de l'intégrité, les flics font leur travail,  il y a une différence entre être chez soi et contrôles d'identités constants et être manifestants, pas être en sécurité logiciel de main courant on les classe d'indésirables, le pouvoir du fric, faire taire la masse, milice comme sous Pétain autocratie faute du capitalisme, chaque corps porte sa misère, institutions mise en doute, fin de la police de proximité et c'était la solution, les suicidés policiers c'est pas pareil