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et si les théories catastrophistes étaient mobilisatrices ?

date : 05/01/2020
Présentation et description :
  • piste d'actions: « on n’est pas très bon pour s’investir dans des bénéfices à long terme comme espèce », il s’agit de démontrer qu’il est par exemple possible de gagner en qualité de vie maintenant, en s’investissant dans des actions qui sont par ailleurs bonnes pour la collectivité. Ces pistes d’actions ou ces discours ont l’intérêt de commencer le travail de « reconstruction du cadre »
« accompagner le discours collapsologue qui fait état de la gravité du réchauffement climatique par une réflexion sur les ressorts psychologiques de notre addiction à la consommation et de nos comportements écocides. (…) L’écologie exige la sobriété qui implique le désir. Modifier durablement ses styles de vie et respecter la planète et les vivants suppose une transformation de soi, un élargissement de la sphère de sa considération où l’on éprouve le lien profond l’unissant aux autres, humains et non-humains » Dans cette optique, décrire davantage les mécanismes qui nous ont amenés à cette addiction serait certainement nécessaire.

  • Lever les freins aux changements : il est démontré que des argumentations de type « l’engagement pour la cause climatique créera une société où les gens sont plus attentionnés » ou « l’engagement pour la cause climatique créera un meilleur développement économique et technologique » sont plus efficaces qu’une séance d’information sur le changement climatique.
Mots clés :