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Avis sur les jeux, nouvelles, conseils et plus encore.
Photo: Daniel Shirey (Getty Images Sport)
Quand il avait 13 ans, Champion de rue Champion Daigo Mamehara a déjà battu un adulte lors d'un match de combat si mal que l'homme le battait dans l'arcade, l'a frappé à plusieurs reprises dans le visage, a déclaré Umehara lors d'un discours de l'année dernière à la NHK Centre de culture à Tokyo. La rencontre a quitté le joueur maintenant légendaire sanglant, enflé et contempler sérieusement son avenir avec des jeux de combat.
Étant donné que Umehara a maintenant 38 ans, cet incident aurait eu lieu au début des années 90. C'était avant les jours de profession professionnelle, naturellement, et c'est une expérience trop familière pour ceux qui ont dépensé les quartiers qu'ils pouvaient se mêler à des jeux de combat à l'arcade locale. Alors que de nombreux joueurs de jeu de combat se retournent avec tendresse leurs journées d'arcade en tant qu' ère dorée de la concurrence et de la découverte, ces espaces faiblement éclairés n'étaient pas toujours le lieu le plus sûr pour les enfants - et parfois même des adultes - à être laissés seuls.
Umehara a appris cette leçon de première main et a finalement cessé d'aller à l'arcade dans laquelle il avait cette confrontation violente à partir de la honte et de la peur. Lorsqu'il se rendit compte qu'il ne s'est pas amusé à jouer à des matchs de combat ailleurs, il a finalement roulé ses manches et retourna, seulement pour s'arrêter à la porte. Dans l'esprit d'Umehara, il avait deux choix: entrez dans l'arcade et éventuellement courir dans l'homme qui lui frappa ou rentre à la maison et abandonne entièrement les jeux de combat.
"J'ai commencé à penser qui serait effrayant", a déclaré Umehara, selon YouTube Channel FGC traduit, qui sous-titré et resturfait cet extrait du discours aujourd'hui. «J'ai commencé à penser à quel scénario me détesterais plus. J'ai réalisé que rentrer à la maison sans ouvrir la porte était plus effrayante que l'autre par un long coup. J'ai réalisé que le retournement aurait un impact négatif énorme sur ma vie. J'ai réalisé que la douleur que je souffrirais serait bien plus que d'être frappée au visage. "
Il s'est avéré que l'attaquant de Daigo n'était pas dans l'arcade ce jour-là et, en fait, il ne l'a plus jamais vu. Mais l'expérience a laissé une mémoire indélébile dans son esprit, une mémoire qu'il croyait se traduit par de jeunes joueurs cherchant à faire une carrière de jouer à des jeux de combat professionnellement dans cet âge moderne de parrainages et de prix. Il créda sa décision d'entrer dans l'arcade sous la menace d'une autre rencontre avec le joueur qui l'a battue comme un qui a finalement conduit à son statut de premier gamer pro Japon.
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"Tout va bien de vouloir entrer dans cette industrie", a déclaré Umehara. «Mais aimez-vous vraiment ça? Pouvez-vous continuer à jouer même lorsque vous êtes traité injustement? Ces choses sont quelque chose que je veux qu'ils pensent très bien. C'est ta vie. Et vous n'obtenez qu'une seule vie. J'espère donc qu'ils réfléchissent à cela très sérieusement. "
https://www.youtube.com/watch?v=Ts7s_Gnb6P0
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Photo: Daniel Shirey (Getty Images Sport)
Quand il avait 13 ans, Champion de rue Champion Daigo Mamehara a déjà battu un adulte lors d'un match de combat si mal que l'homme le battait dans l'arcade, l'a frappé à plusieurs reprises dans le visage, a déclaré Umehara lors d'un discours de l'année dernière à la NHK Centre de culture à Tokyo. La rencontre a quitté le joueur maintenant légendaire sanglant, enflé et contempler sérieusement son avenir avec des jeux de combat.
Étant donné que Umehara a maintenant 38 ans, cet incident aurait eu lieu au début des années 90. C'était avant les jours de profession professionnelle, naturellement, et c'est une expérience trop familière pour ceux qui ont dépensé les quartiers qu'ils pouvaient se mêler à des jeux de combat à l'arcade locale. Alors que de nombreux joueurs de jeu de combat se retournent avec tendresse leurs journées d'arcade en tant qu' ère dorée de la concurrence et de la découverte, ces espaces faiblement éclairés n'étaient pas toujours le lieu le plus sûr pour les enfants - et parfois même des adultes - à être laissés seuls.
Umehara a appris cette leçon de première main et a finalement cessé d'aller à l'arcade dans laquelle il avait cette confrontation violente à partir de la honte et de la peur. Lorsqu'il se rendit compte qu'il ne s'est pas amusé à jouer à des matchs de combat ailleurs, il a finalement roulé ses manches et retourna, seulement pour s'arrêter à la porte. Dans l'esprit d'Umehara, il avait deux choix: entrez dans l'arcade et éventuellement courir dans l'homme qui lui frappa ou rentre à la maison et abandonne entièrement les jeux de combat.
"J'ai commencé à penser qui serait effrayant", a déclaré Umehara, selon YouTube Channel FGC traduit, qui sous-titré et resturfait cet extrait du discours aujourd'hui. «J'ai commencé à penser à quel scénario me détesterais plus. J'ai réalisé que rentrer à la maison sans ouvrir la porte était plus effrayante que l'autre par un long coup. J'ai réalisé que le retournement aurait un impact négatif énorme sur ma vie. J'ai réalisé que la douleur que je souffrirais serait bien plus que d'être frappée au visage. "
Il s'est avéré que l'attaquant de Daigo n'était pas dans l'arcade ce jour-là et, en fait, il ne l'a plus jamais vu. Mais l'expérience a laissé une mémoire indélébile dans son esprit, une mémoire qu'il croyait se traduit par de jeunes joueurs cherchant à faire une carrière de jouer à des jeux de combat professionnellement dans cet âge moderne de parrainages et de prix. Il créda sa décision d'entrer dans l'arcade sous la menace d'une autre rencontre avec le joueur qui l'a battue comme un qui a finalement conduit à son statut de premier gamer pro Japon.
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"Tout va bien de vouloir entrer dans cette industrie", a déclaré Umehara. «Mais aimez-vous vraiment ça? Pouvez-vous continuer à jouer même lorsque vous êtes traité injustement? Ces choses sont quelque chose que je veux qu'ils pensent très bien. C'est ta vie. Et vous n'obtenez qu'une seule vie. J'espère donc qu'ils réfléchissent à cela très sérieusement. "
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