:: suivant >>
éditer :: []->


image AdobeStock_356373830_Editorial_Use_Only.jpeg (3.4MB)




Concrètement, que signifie cet engagement ?


L’objectif de Netflix est clair, empreinte carbone zéro nette en 2022, ambition significative et adoptée suite à l’approbation de la société des décisions prises lors des Accords de Paris (COP21)

Pour mieux envisager sa marge d’amélioration, Netflix a d’abord entrepris un état des lieux, à l’aide d’une expertise indépendante : 1,1 millions de métriques tonnes. Voilà ce que représente en GES (émission de gaz à effet de serre) l’activité de Netflix en tout.

1,1 millions de métriques tonnes, de quoi parle-t-on ?

D’après Netflix, 50% de ce total correspond à la production pure des contenus, 45% sont eux amputés aux activités courantes des collaborateurs (déplacements, achats…) tandis que seulement 5% serait compté pour les serveurs hébergeants les streamings.

Hélas, Netflix n’inclut pas dans ses chiffres l’empreinte liée au visionnage de son contenu par ses utilisateurs. Autrement dit, la connexion internet et les appareils de visionnage nécessaires à l’utilisation des services Netflix ne rentrent pas en compte dans leurs calculs. Ce sont pourtant des émissions de CO2 importantes et non-négligeables, mais difficilement quantifiables.

Netflix s’est donc associé à DIMPACT, une initiative de recherche collaborative qui a créé un outil pour évaluer les é
time qu’une heure de streaming sur leur plateforme en 2020 équivaut à conduire un véhicule de tourisme sur 400 mètres (100gCO2e).

Pour faire baisser ce résultat, Netflix se met en mouvement autour de 3 axes : la réduction de ses émissions, la conservation du carbone généré par son activité avant qu’il soit rejeté dans l’atmosphère et la réutilisation du carbone issu de l’atmosphère à des fins écologiques (restauration de prairies, de sols sains…).

Le social chez Netflix...


Côté social et sociétal, on peut dire que Netflix a un devoir d’engagement face à la diversité des collaborateurs qui composent ses équipes.
Concernant les contenus proposés, Netflix a fait appel à Stacy L.Smith, docteure et fondatrice de l’USC Annenberg Inclusion Initiative, pour étudier les films et séries étudiées entre 2018 et 2019.

Elle et son équipe sont réputées pour leur travail dans ce domaine, y compris les rapports Inequality in Popular Films, qui examine les représentations du genre, de la race, des identités LGBTQ+ et des handicaps à l’écran dans l’industrie du divertissement.
Dans le rapport, on analyse la composition des talents à l’écran en passant par les créateurs, les producteurs, les écrivains et les directions. Malgré une amélioration sur les 22 indicateurs de mesures, on constate une amélioration seulement sur 19 indicateurs. Des efforts restent à faire car on constate que tous les groupes ethniques ne sont toujours pas représentés correctement.

Une meilleure représentation à l’écran commence par une meilleure représentation dans les bureaux de Netflix. Ils ont travaillé sur la création de plus d'opportunités pour les personnes sous représentées de manière à ce que leurs voix soient entendues.

En Février, ils ont créé Netflix Fund for Creative Equity qui est fond investissement de 100 millions de dollars dans le but de développer les initiatives qui visent à travailler sur l’inclusion des minorités.
Le but est d’aider les personnes sous représentées à participer à des programmes Netflix sur mesure qui leur permettront d’aider à repérer, à former et à offrir des emplois aux talents émergents à l’échelle mondiale.

La pandémie a eu un impact sur l’industrie du divertissement mais surtout sur les travailleurs autonomes qui sont moins bien payés. C’est pour cela que Netflix a créer un fond d’aide à hauteur de 150 millions de dollars pour aider directement les travailleurs les plus durement touchés de la communauté créative dans 20 pays du monde où nous avons une importante base de production.