Résumé
Parce qu'on va partager du bon et du moins bon... et parce que parfois, le moins bon peut avoir du bon.
Billet
Vendredi midi, alors que tout le groupe était en branle pour nous rejoindre aux Hubacs, un soupçon d'"un peu moins bien" accompagné de picottements dans la gorge se sont invités chez moi. Rhume?
Le corps a lutté tout le week-end contre un virus qui s'est finalement dévoilé lors d'un auto-test 4 jours après : ce fameux covid que je n'avais pas encore attrapé! "Ah quand même!", a réagi ma mère, qui ne trouvait pas cela logique de passer à travers depuis plus de deux ans.
A part Frédô qui partage ma couche mais ne fait jamais les choses comme tout le monde, Brigitte qui avait décidé de ne pas être malade parce qu'elle avait trois semaines de dingue après le week-end, Aude et Javi qui cueillaient des olives dans le Var, et quelques résistants qui s'ignorent, une partie du groupe a fait preuve de solidarité. ;)
Entre deux siestes, cela a donc permis à Manu de commencer à se pencher plus en avant sur le Programme de notre projet. Pour ceux qui, comme moi, n'ont jamais assimilé la notion de programme à autre chose qu'à l'organisation d'une manifestation ou à la température d'un cycle de lavage, j'ai dégotté une explication simple et efficace sur le Net :
Intervenant avant même l'architecte, le programmiste évalue la faisabilité d'un projet de construction ou d'aménagement selon les coûts, les contraintes sociales et environnementales, l'utilisation des équipements... Il fait ainsi gagner du temps à l'architecte lors de la conception des plans, et au maître d'ouvrage.
Clair non? Et bien, nous venons de découvrir qu'un programmiste en herbe se cachait dans notre groupe. Et qu'en plus il n'avait que cela à faire cette semaine, cloué au fond de son lit par un covid inopiné.
Cela tombe plutôt bien en fait, à un moment où le groupe commence à zieuter du côté des biens immobiliers. Merci Manu!
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